Coupole du Dôme Florence

Dans le 1418 la corporation de l'art de la Laine décida de bannir concouru pour le modèle de la coupole à tourner en Saint Maria de la Fleur. Concouru vit la victoire de Brunelleschi sur Ghiberti, mais dans la construction ce j'achève fut appuyé au victorieux. De la collaboration scaturi la spécification du schéma constructif proposé de Bruneileschi. Tel schéma, qui se diversifie de celui de la coupole romaine du Pantheon et s'approche aux schémas constructive sa de l'architecture gotica, est fondé sur la concentration des structures portantes en costoloni, établis sur les arêtes du tambour octogonal et qu'ils montent, profilés à forme de "cinquième" aigu, jusqu'à un anneau, même il octogonal. Ceci les ceint et est sormontato à son tour de la lanterne. De chaque des côtés de l'octogone de de base ils partent ensuite autres deux costoloni qu'on va relier sur le même anneau supérieur ; l'enveloppe de la coupole est constituée d'une double doublure de structures subtiles, réalisées avec des briques à épine de pesce à forme pas de quartiers sphériques, mais de triangles curvilignes tiré dans une superficie cylindrique (c'est-à-dire avec des génératrices rectilignes et direttrici curvilignes, déterminées justement des costoloni. La doublure extérieure ère revêtue avec tegole et celle-là interne ère destinée à accueillir, dans l'intrados, décorations à je peins à fresque. Les costoloni montants des arêtes émergent à l'extérieur, pendant que ceux-là partants des côtés restent compris dans la double doublure.

Le schéma structurel, qui éliminait la necessité de la centinatura dans tout l'intrados de tourne, permettait donc structures beaucoup plus légères que ces adoptées de l'architecture romaine et de la bizantina (dans lesquelles il tourne ballaste demandait des murages considérable spessore pour de résister aux enormes poussées).

Le schéma Brunelleschiano qui se rappelait à des systèmes dans j'emploie dans les grandes cathédraux gotiche, fut repris même de Michelangelo dans la coupole de San Pietro.

L'initial je projette d'Arnolfo di Cambio pour Santa Maria del Fiore, rendu encore plus d'imposant des modifications de Francesco Talenti, avait laissé la basilique avec un enorme problème: fermer le choeur avec autrefois. La basilique d'Arnolfo prévoyait certes une coupole, mais basse, analogue à quelque calotte bizantina ancor'aujourd'hui visible dans l'Italie méridionale : nous pouvons en voir une image virtuelle dans peins à fresque de Cappellone des Éspagnols en S. Maria Novella, exécuté dans le 1365-67, où le Dôme est représenté avec une étrange coupole en réalité jamais existée. Les dimensions à l'intérieur du cattedrale résultèrent de toute façon à la fin ainsi imposantes (est toujours la troisième église au monde pour dimensions après S. Pietro en Vatican et Santa Paul à Londres) qu'il ne fut pas possible employer la habituelle méthode basée sur des structures fixes qui partaient de terre. Les coûts en effet se seraient révélés prohibés vous et erano même étées perdus, à cause de la peste noire, les techniques nécessaires à une semblable tentative, transmises au maestranze pour oral de ses maîtres. Du reste, tourner un espace de 45.5 mètres de diamètre sans armures sur lesquelles poser ère vraiment impensable pour les experts de l'époque. Le génie des Brunelleschi se manifesta principalement dans la solution de cette très compliquée oeuvre. L'inspiration vint après une soignée descente à la coupole du Pantheon, même elle réalisée sans armure et avec une double calotte. Rentré à Florence, l'artiste suggéra d'abord de construire sur le choeur un tambour ensuite, réalisé ce coronamento qui en réalité rendait encore plus difficile l'érection de la coupole, on en tourna à Rome poursuivi des messages désespérés de l'Oeuvre du Dôme. Rentré à Florence il suggéra de bannir concouru pour projette d'une coupole qui devait avoir ces qualités : être octogonal, avoir 46 mètres de diamètre à la de base, ne pas contenir ossature et résulter pour de plus double. Concouru fut banni dans le 1418 et Brunelleschi en sortit trionfatore, mais les responsables de l'Oeuvre voulurent lui appuyer dans la direction des travaux Lorenzo Ghiberti, que déjà elle lui avait arraché la vendeuse pour la Porte nord du Baptistère. L'artiste offenses beaucoup qui était en train de détruire son modèle, lorsque les amis Donatello et Luca de la Robbia lui suggèrèrent de se donner malade et laisser à toute la responsabilité aux Ghiberti. Ainsi il fut fait et bien vite Ghiberti il jeta l'éponge en se déclarant absoluement incapable de comprendre projette et porter en avant les travaux. Reconnu en 1423 "inventore et gouverneur de la coupole majeure", Brunelleschi mena l'oeuvre avec des révolutionnaires systèmes constructifs, qui étonnèrent les contemporains ; en adoptant le murage en briques "spinapesce" (à étudiée sur les monuments romains), il élimina des cintres et des armures et porta en avant progressivement la structure, capable d'autosostenersi, en déchargeant les poids et les poussées pour moyen d'une double calotte à sixième aigu, en diversifiant et en harmonisant de telle manière le volume de la coupole par rapport à l'intérieur et à l'extérieur. L'accomplissement des travaux de la grande oeuvre protrasse à le long de : dans le 1434 la coupole était accomplie, "erta sur et cieux, ampla à couvrir avec son ombre des tucti et des peuples toscans" (Alberti) ; du 1432 il est projette (mis en acte dans 1436) de la lanterne, très elégante architecture en dimensions réduites, nécessaire point de convergence des lignes de force des costoloni. Dans le 1438 B. réalisa, dans les intervalles des corps sporgenti de l'octogone absidale, quatre petites tribunes, comme élément de raccord des masses plastiques dont il bondit l'élan de la coupole, allégées de profondes niches d'inspiration classique.

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